Et  pas un mot sur la finitude du monde. A croire que tout ira pour le mieux dans le meilleur des mondes dès lors que l'on aura construit le capitalisme à échelle humaine, que l'on aura mis fin aux entreprises transnationales? Pas d'accord, votre honneur, l'extinction de notre civilisation ne viendra pas par la diminution d'échelle du capitalisme, mais bien par une société de partage, sobre, conviviale, résiliente à la disparition du pétrole. Là est la clé, pas ailleurs. Ne nous trompons pas d'objectif.

• • Paul

    Jeudi 1er Novembre 2018 à 03:44

    st exactement ce que je pense et dis assez explicitement me semble-t-il.

    Paul

Cher Beauf' !J'aimerais que tu développes ce que tu entends par: une "mondialisation qui s'enracine dans la diversité des pays et des peuples du monde "

Peut-être as-tu -finalement-la même approche que B. Bourgeon ????

BISES

• • MARLOT

    Samedi 3 Novembre 2018 à 22:17

    Merci Paulo!

    changement de "paradygme" ,en somme ....

    Vaste programme aurait dit qui tu sais !!!!

Bravo Paul pour cette analyse lucide et complète. On est dans une pensée unique du tout libéral qui fait des ravages, professée par les grandes écoles qui produisent l'élite qui se succède au pouvoir dans une  fausse alternance, écoles pourvoyeuses également de la presse qui façonne l'opinion. Tout cela favorise et ne laisse place qu'aux extrêmes et la transition risque d'être douloureuse.

Jean-Marc Bédier